Fieffes s'est beaucoup transformé, grâce au développement de l'instruction, à son agriculture et du teillage de lin. Les chanvrières y sont très rares. Les maisons basses y sont remplacées par des habitations confortables, la vie misérable qui a procédé la Révolution n'existe plus. Une certaine aisance règne au sein des familles. Les économies sont placées en rente ou employées à acheter de la terre. Les pauvres sont secourus par la charité privée, les malades indigents par le bureau d'assistance. Fieffes pourra encore s'enrichir, mais il a peu d'espoir de voir sa population s'augmenter.